SKYE

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× Nom : HELLIGTON. Un nom qui sonne bien. Sa fait vraiment bourge, exactement comme ma famille est. J'aurais pu tomber sur Dupont qui fasse de moi qu'une inconnue de plus. Mais non. Avec ce nom là les gens se retourne sur moi comme pour voir si effectivement je suis bien la fille de ces deux personnages que sont mes parents.
× Prénom : Skye. C'est un prénom que j'aime beaucoup. Le ciel, là où je voudrait m'évader, voler. Il signifie beaucoup et c'est peut être la seule chose qui me reste de mes parents biologiques.
× Âge : 17 ans. Oui 17 ans que chaque matin je prie pour retourer de là d'où je viens. 17 ans de galère.
× Taille : 1m57. Heu sans commentaires hein TT'

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× Caractère : Toutes ces années où je me suis pliée au règlement sont terminés. Il en faut très peu pour que j'éclate dans une colère noire où la seule solution est de me laisser. De toute façon la solitude est une situation que j'apprécie. Le poids de se meurtre est encore sur mes épaules et souvent j'en fait des cauchemars. Mais votre aide me dégoute plus qu'autre chose. Je n'ai nullement besoin de toute cette pitié. Instaurer un dialogue avec moi c'est compliqué. Je vous écoute a peine et vous répond vaguement. Mes remarques sont cinglantes et faite pour faire mal. Mais ce n'est qu'une carapace de protection tout cela n'est que fictif. Deuxième chose, j'estime que m'avoir envoyé ici est une idée a la Helligton. Croire que ces canassons (je ne pensais pas employé ce mot là un jour Oo') sont là pour m'aider a retrouver un semblant d'humaniste. Ma résolution est faire je ferais tout pour qu'on me foute la paix.
× Histoire : Un cri résonne dans la nuit. Surement un coyote en quête d'une proie. Le jeune homme se détourne de la petite fenêtre où l'on peut a peine distinguer ce qui se passe au dehors tellement il y a de crasse. Mais il ne fait aucun commentaire là dessus et se retourne vers l'intérieur de la pièce. Contre le mur opposé on a poussé un lit. En métal il semble aussi inconfortable que froid. Sous les draps blancs un peu tâchés une forme ronde. Les couvertures se soulève a chacune de ses respirations qui sont tout a fait régulière. Un soupire et le jeune homme s'assoit sur la chaise en bois a la tête du lit. Posé sur le draps, une main fine et bronzée. Il l'a saisit et la serra tendrement avant de fermer les yeux en attendant. Il a 17 ans et la jeune femme couchée, 16 ans. Je vous entant déjà dire comme ce ne sont encore que des enfants. Certes. Deux jeunes gens qui viennent du même endroit. La rue et ces histoires. Bizarrement ils on réussi chacun a trouver l'amour et le garder. Mais voilà, ils n'ont pas su garder leurs précautions. Et aujourd'hui ils se retrouvent avec un enfant sur les bras. L'enfant n'a pas encore montré le bout de son nez mais le tout jeune couple sait qu'ils ne le verront pas. C'est un accouchement sous X. Impossible de garder un enfant dans leurs conditions. Surtout en cette période de guerre Irakienne. Vous l'aurez compris nous sommes en Irak en 1991. La guerre vient de se déclarer et la situation se dégrade chaque jour. C'est la jeune femme qui est Irakienne. Lui il est Espagnol mais il est venue ici pour photographier les causes des conflits. Brusquement tiré de ses rêveries le voilà qui sursaute. La jeune femme le regarde et sans rien qu'elle ne lui dise il comprend. Alors dans une langue approximative il appelle les infirmières. Quelques heures plus tard la sage femme repart avec dans ses bras leur fille a qui ils on donné le nom de Skye. Voilà qui sont mes parents biologiques. Mais cet épisode je le connais seulement grâce a une des infirmières qui a bien voulu me le confier.

A peine quelques jours et hop mes nouveaux parents arrivent. Ils décident de garder le nom que j'ai déjà, plus tard j'apprendrais que c'est par simple faignantise. Maintenant il faut que je vous fasse un portrait bref de ce couple. Tout deux doivent avoir dans la trentaine. Ensemble depuis 10 ans déjà ils ne réussissent pas a avoir d'enfant et sont contraint d'adopter. Elle est avocate et lui homme d'affaire. Des gens respectés a New York. C'est mon père qui a créer le tout dernier aéroport. En public ils sont tout a fait sympathique mais en public ils se révèlent différent. Toujours débordés il n'ont jamais le temps de quoique ce soit. Ils auraient du rester tout les deux et ne pas adopter. Enfin le sort m'a choisit pour leurs fille. A l'époque j'ignorai que j'avais été adopté et après quelques mois où les cris des Helligton on résonné dans la maison j'ai appris a être une enfant facile. Ne jamais discuter de ce que l'on demande. Tout leurs amis on voulu savoir la clé de cette prouesse jamais ils n'ont révélé les hématomes de mes bras. A 5 ans on m'envoie a l'école. Evidement ce n'est pas dans un public mais une privé que je me retrouve. Là bas les enseignants sont aussi strictes que mes parents. Je n'aurais pas d'amis là haut. Mes habitudes de discrétion se renforce. Le cercle vicieux s'installe. Mon entrée au collège est pareil. Un établissement où l'uniforme est obligatoire. Toujours pas d'amis, je suis externe je n'en souffre pas trop. Ce manque de contacts avec des jeunes de mon âge me rend encore plus réserve. J'ai mon diplôme haut la main. Les insultes fusent en douce pendant que le prof est retourné. Pourtant je garde la tête haute avec un simple regard de mépris et des insultes plein la bouche qui rêvent de s'exprimer. Le lycée, c'est là toute la débauche. Cette fois ci je suis dans un lycée publique. On y entre par dossier, je suis première sur la liste. C'est cette année où l'aéroport fait faillite et où mon père perd son travail. L'année la pire. J'ai alors presque 16 ans. Selon Mme Helligton il faut que je travaille histoire de faire honneur a la famille. Déjà qu'avec mon père la réputation est salie. J'accepte comme d'habitude. Tout se passe pareil que toutes mes années scolaires. Je travaille sans me soucier de personne. Sauf que je suis demi-pensionnaire. Et puis a la moitié du premier trimestre je me fait un groupe d'ami. Ils sont cool. Pour moi c'est la découverte d'une jeunesse. Deuxième trimestre ma moyenne a baissé mais je suis presque heureuse. Aller au lycée est un plaisir. Revenir chez moi une torture. Mon père est toujours chômeur et se met a boire. Ma mère ne fait rien pour l'empêcher elle est sur un de ces procès important. C'est moi qui prend tout. Il reste tout le temps a la maison je ne peux l'éviter. Les premiers attouchements ne sont que caresse et au fil des jours il finit par me violer. Ces périodes là sont les pires de ma vie. Dans sa condition Mr Helligton me traite de tout les noms et finit par m'avouer que je suis adopté. Cette phrase je ne l'ai jamais oublié. Skye ? Crois-tu seulement que notre enfant véritable aurait été comme toi ? Non je ne pense pas ! Ce ne serais pas un ratè !! Pas un sale irakien mélangé a de l'espagnol ! Il put l'alcool comme toujours mais je sais que c'est la vérité. Nos physique sont trop différent. Ce soir là les larmes ne coulent pas. Elles ne couleront plus. Mon père est entrain de dormir dans un coin. Je n'ai même pas besoin de faire attention aux bruits pour éviter de le réveiller tellement il est saoul. Un dernier coup d'œil a mon univers et je me glisse par la porte. La morsure du froid de la nuit réchauffe mes espoirs. Je me met a courir sans vraiment savoir ou aller. Je sais juste que jamais je ne reviendrais chez eux. Longeant la voie ferré un jeune homme m'interpelle il a une voiture et lui aussi fugue. Je le reconnais il été dans ma classe. A moitié confiante je le suit. Dans la voiture je finit par m'endormir. Il m'emmène loin de cette ville pourrie me dit-il. J'y crois a peine mais c'est bien ça quand je rouvre les yeux au petit matin. Pas un mot échangés avec lui dans les jours qui suivent. On roulent vers le nord sans s'arrêter. Et puis un jour que je ne saurais dire une voiture s'est glissé dans le rétroviseur. La police. Un signe comme quoi il fallait que l'on descende sur le bas côté. Le jeune homme dont j'ai oublié le nom obéit. Il m'insulte en disant que ça doit être parce qu'on me recherche. En effet. Mais le conducteur ne lui laisse pas le temps. Il redémarre et ignore le policier qui court après la voiture. Dans sa folie il ne voit pas le bras du flic qui se coince derrière son siège. L'homme hurle. Sur le bitume brulant sa peau s'arrache tout comme ses habit puis le bras lâche. Le regard de l'homme reflétant une peur a l'état pure me suivra tout le reste de mon existence. Effrayée par l'avant bras resté derrière le siège du conducteur je hurle. Mais la voiture ne s'arrête pas alors ma porte s'ouvre et je saute. Le policier est mort, le jeune conducteur introuvable et moi envoyée dans un lieu où je doit purger une sorte de peine. Ce sont mes parents qui on choisit cet endroit. Sa leu permet de me railler de leurs tristes vies. Ca fait plaisir a tout le monde. Me voilà sous un nom qui n'a strictement plus aucun sens pour moi.

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× Qualités : fidèle - a l'écoute - réfléchie - douce -
× Défauts : Réservée - cynique - froide - solitaire - agressive - insociable - bornée - frustrée - très susceptible

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× Code(s) : OK
× PUF : Pink Panther
× Comment trouvez-vous le forum ? : Je déteste, il est hideux !
× Quelle personne utilisez-vous comme avatar : Vanessa Hugdens. Enfin vous avez compris ^^

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Welcome ^^

Salut ^^
Je déplace, n'oublie pas d'aller choisir un cheval =P